Souffle de soumise Myloon

Les glaçons et les bougies… (3)

(Partie 3) 

Mon Maitre décida de me mettre à quatre pattes pour qu’Ils puissent apprécier mon corps couvert de cire. J’ai vu à Leur regard qu’Ils étaient assez fiers de me voir ainsi. J’ai senti qu’Ils jouissaient du résultat de notre « chaude » séance et  je Leur souriais heureuse de pouvoir Les servir et leur apporter autant de bonheur.

Ils ont pris un martinet chacun et ont commencé à me fouetter tout le corps pour ainsi faire partir la cire. Je sentais chaque coup si intensément que je me suis mise à gémir de désir. Plus Ils me fouettaient, plus j’avais envie que cela ne se termine jamais. Un vrai régal de me sentir fouettée partout et de les voir sadiquement sourire ensembles. Leur joie se sentait sur chaque coup porté à mon corps, qui tremblait de douleur et frissonnait d’envie.

Après avoir enlevé presque toute la cire et ne laissant que les bouts qui entouraient mes tétons, j’ai eue une idée. Je Leur ai demandé si je pouvais Leur offrir ces bouts de cire gravés aux formes de mes bouts de seins, pour qu’Ils puissent toujours se souvenir de ces intenses moments passés ensembles. Ils ont adoré l’idée et ont accepté avec joie, pour mon plus grand bonheur.

N’ayant plus de traces de cire sur ma peau mais ayant toujours les deux bougies dans mes orifices, mon Maitre décida de m’orner   les lèvres intimes de deux pinces avec poids, pour mieux les étirer vers le bas et les écarter.

Je mouillais d’excitation mais Ils avaient envie de me torturer encore un petit peu, donc Maitre R. est venu « jauger » les poids tout en les bougeant sadiquement pour que je puisse sentir encore plus l’étirement de ma chair.

Mon Maitre me posa des pinces à étau au bout de mes seins. Les pointes durcis saillissaient  honteusement et pointaient devant Lui  avec audace. Il a ajouté trois poids à la chaine qui reliai les pinces faisant ainsi ces bouts perdre de vergogne et qu’ils pendent vers le bas, cela m’étirait les mamelons et des frissons parcouraient mon corps.

J’aimais me voir exposée de cette façon pour Leur plaisir. Je me sentais tellement belle, ne pensais plus à mes défauts... Leur esprit sadique et bien pervers se reflétait dans Leur regard pétillant. Ils m’on mise à quatre pattes et me voulait bien écartelée et exposée pour Leur plaisir.

(Á suivre…)